J'aimerais bien savourer un peu de paix, mais, on le sait, le PS local m'a déclaré une guerre totale. Aujourd'hui, dans la presse et sur divers blogs, on annonce la candidature d'une adjointe de Val-de-Reuil à la présidence de l'agglomération Seine Eure.
Cette candidature va mettre l'agglo à feu et à sang. Cette guerre sans raison, je ne l'ai pas voulu, on me
l'impose. Jamais deux sans trois...
Après les municipales et les cantonales, c'est le troisième acte, digne des Atrides, de la tragédie écrite par le PS local pour assouvir la vengeance personnelle de François Loncle et donner le contrôle politique des quatre cantons au maire PS de Val-de-Reuil.
Une stratégie suicidaire.
Le rideau est tombé sur le cuisant échec aux municipales de la dissidence de Renoncourt. Il a tout perdu.
Dans un silence lourd de honte, le rideau est retombé après la catastrophe des cantonales, le maintien de Houel qui a fait élire un candidat UMP pour me faire perdre. Il y laisse son honneur.
Le rideau se lève aujourd'hui sur le troisième acte - prévisible et prévu - de la stratégie anti-Martin : me virer de la présidence pour faire passer l'agglomération sous le contrôle politique de Val de Reuil. Jeannick Lesoeur, sans projet, sans alliance, joue le rôle d'une femme de paille.
Qui peut croire à son indépendance ? Elle ne se présente même pas elle-même, c'est Jamet qui la présente à la presse...
Comme l'a titré Paris Normandie, "ils sont devenus fous". Les sièges
perdus par le PS à Louviers et l'élection d'un UMP dans le canton, fruits amers de cette stratégie, ne leur ont pas fait retrouver le gout du dialogue, de la solidarité ou du simple bon sens. Cette stratégie fut sucidaire à Louviers, elle le sera à la CASE.
Le bon sens, il est de mon côté : les maires sont gens sérieux qui savent que la CASE fonctionne fort bien et que la chasse à l'homme n'est pas ouverte.
Bien qu'on tente d'acheter votes et consciences par des promesses de postes et de financements, les élus des communes ne se laissent pas manipuler comme des militants socialistes.