Jamais un gouvernement n'a traité les maires avec autant de désinvolture.
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Jamais un gouvernement n'a traité les maires avec autant de désinvolture.
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Le Marité a connu tant de péripéties, tant nautiques que financières... qu'il ne serait pas prudent de dire que la réunion de lundi matin, à Rouen, du Groupement d'Intérêt Public propriétaire du Marité sera décisive, ni que le sort du bateau en dépend. Tant de scénarios sont possibles...
Mais il est certain que cette réunion marquera une étape cruciale. Le projet de rénovation du Marité va-t-il survivre à la regrettable décision du nouveau maire de Rouen de quitter le GIP ?
Si le projet se poursuit, sous quelle forme et avec qui ?
Ceux qui ont suivi sur ce blog les péripéties de l'été savent que dans ce dossier rien n'est simple. Mais ma volonté de faire aboutir la reconstruction du grand voilier historique ne fait que grandir. Et lorsqu'une volonté en rencontre d'autres, elle ouvre les chemins de l'avenir.
Si nous franchissons le cap de ce lundi fatidique, j'ai de nouvelles propositions à faire pour relancer ce dossier. Hisse et Ho !
N'oubliez pas une visite sur le site des amis du Marité : www.marite.fr
Rédigé à 06:15 | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
L'actualité politique remet le RSA, revenu de solidarité active, sur le devant de la scène.
Prenant à contre-pied la droite et la gauche, Nicolas Sarkozy propose de financer cette mesure sociale par un impôt sur le capital. Cela va dans le bon sens, mais il n'est pas certain encore que le financement soit à la hauteur des besoins et les conseils généraux feraient bien de se montrer vigilants.
C'est à Louviers, sous l'impulsion de Jean-Louis Destans, président du conseil général, que cette mesure sociale a été expérimentée pour la première fois. Vice président du conseil général, j'ai été particulièrement attentif à la mise en oeuvre du RSA et il ne m'est pas indifférent que dans la presse nationale et à la télévision, le nom de notre ville soit souvent associé à cette mesure socialement bénéfique.
Martin Hirsch, avec lequel nous avions commencé à travailler sur le sujet avant qu'il soit nommé ministre ( ou haut commissaire, peu importe) avait rendu visite à Louviers au printemps dernier.( cliquer pour lire la note )
Voir aussi la note du Café Radical
Rédigé à 12:40 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Nous avons tous en tête, ou dans le coeur, certains dates qui vous parlent ou vous émeuvent. Or, la date du 4 septembre m'a toujours été chère.
Ce n'est pas parce que le 4 septembre 476, Odoacre a marqué la fin de l'Occident romain en déposant le minuscule Romulus Augustule, le dernier empereur de Rome.
Ni parce que le 4 septembre 1090, la secte des Assassins s'empare de la forteresse d'Alamout...
Ni parce que le 4 septembre 1725, Louis XV, le débauché, épouse, à la surprise de la Cour, la modeste et pieuse Marie Leszczynska !
Ni à cause du coup d'Etat du 18 fructidor An V ( 4 septembre 1797 ) qui ne réhabilite pas les hommes du Directoire.
Ni même du 4 septembre 1970, élection fragile de Salvador Allende comme président du Chili...
Tous ces "4 septembre", je les ignore comme la plupart d'entre vous... sauf à consulter mes livres d'histoire.
Deux " 4 septembre " qui comptent, pour moi...
Mais j'ai toujours célébré le 4 septembre en raison de la coïncidence de deux dates qui combinent fort bien mes penchants, mes rêves et mes passions, politiques et littéraires... Les voici.
Le 4 septembre 1870, c'est la vraie naissance de la République, anniversaire que tout républicain vénère. Ce n'est pas au hasard que notre Constitution actuelle est datée du 4 septembre 1958.
Mais le 4 septembre 1788, c'est aussi la naissance, à Saint Malo, de François-René de Chateaubriand... que je ne me lasserai jamais de lire et d'admirer. Le vicomte est l'un de mes dieux lares, je l'avoue sans vergogne et sans barguigner.
Et le prochain 4 septembre 2008 ? Il comptera aussi...
Que m'apportera-t-il ? Et bien, ce sera forcément une bonne ou une mauvaise date pour moi, sans "juste milieu". C'est le jour où a été fixée l'audience du tribunal administratif qui examinera mon recours contre le résultat de l'élection cantonale de Louviers Sud.
Tant que justice ne sera pas faite, par les urnes, la réconciliation de la gauche est-elle possible ?
En attendant, allez donc lire, pour rire un peu le feuilleton, fort pittoresque, le conte politique de l'été, sur le site de José Alcala...
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Aux membres du collège des grands électeurs de l'Eure, j'ai écrit ceci :
" Le sort de la prochaine élection sénatoriale se trouve entre vos mains. Conférés par votre belle commune, cette responsabilité, cet honneur, sont la reconnaissance de vos capacités à exercer un rôle public. Avant de dire pourquoi je briguerai votre suffrage le 21 septembre, je tiens à vous en féliciter très cordialement.
Beaucoup d’entre vous me connaissent : depuis 15 ans, j’exerce des responsabiités publiques dans l’Eure, notre département. Toutefois, le scrutin municipal de mars dernier a profondément renouvelé la composition des conseils municipaux. Il me semble donc nécessaire, non par immodestie mais par courtoisie, de me présenter en quelques mots à tous mes collègues de l’Eure, anciens et nouveaux.
Je suis, avant tout, heureux d’être un maire, car le mandat municipal fait le bonheur de ceux qui aiment l’action positive, les progrès concrets. Elu maire de Louviers en 1995, j’ai pris rang, comme nombre d’entre vous, parmi les pionniers de l’intercommunalité pour créer la communauté d'agglomération Seine-Eure, qui compte à présent 29 communes et 60 000 habitants. La CASE est unaninement reconnue comme un pôle majeur et dynamique du développement de l’Eure.
Conseiller général en 1994, puis vice président du Conseil général, j'ai travaillé ardemment aux côtés du président Jean-Louis Destans, jusqu’au scrutin de mars dernier, pour faire de l'Eure une terre de projets, fertile et dynamique. Dirigeant les travaux de la commission départementale chargée, du développement économique et de l'environnement, puis président de l'agence de développement économique de l'Eure, que j'ai rebaptisée Eure-Expansion, j'ai connu la profonde satisfaction de voir adopter, puis réaliser par le conseil général, nombre de mes propositions d'innovation et de réformes.
Aujourd’hui, après mûre réflexion et nombre de consultations, je me présente à la proche élection sénatoriale, en espèrant votre soutien.
Pourquoi ?
Pour mettre à votre service, au service de votre commune, mon expérience d’élu, en concertation permanente avec vous.
Je siège depuis 2001 au bureau national de l'AMF, association des maires de France. J'y ai appris que nos communes ont besoin du Sénat pour défendre leurs intérêts dans le mouvement perpétuel des lois, exiger le respect des finances locales de la part d'un gouvernement, toujours enclin à faire payer aux communes le poids de ses déficits.
Rarement nos communes ont été aussi malmenées par un gouvernement, nous avons besoin d'être mieux défendus et de faire progresser des solutions adaptées aux problèmes des communes de France. C’est bien le rôle primordial du Sénat, grand conseil des communes de France.
Le Sénat aura à se proncer, dans la prochaine mandature, sur la réunification de la Normandie, condition indispensable de l’efficacité publique au niveau régional, mais aussi européen. Une mesure dont les conséquences bénéfiques seraient immédiatement sensibles, y compris dans nos communes. De nouveaux éléments, décisifs, ont été récemment apportés au débat et un grand espoir anime ceux qui, comme je l’ai toujours fait, parlent et agissent publiquement pour la réunification. Au Sénat, je pourrai aider à concrétiser, enfin, ce grand espoir pour la Normandie.
Comme maire de Louviers et président du conseil général, Pierre Mendès-France a marqué l'histoire de notre département. Après une longue éclipse, le courant de pensée mendésiste, auquel j’appartiens, connaît un formidable renouveau, grâce à son esprit de liberté, sa capacité d’indépendance vis-à-vis des blocs, la modernité d’un projet adapté à l'Europe et à la France d'aujourd'hui.
Ce renouveau du mendésisme doit s'incarner dans l'Eure comme partout en France par une présence forte lors des grands rendez vous électoraux.
Le mode de scrutin sénatorial donne lieu à bien des critiques. Il privilégie exagérément l’immobilisme, au point que le résultat peut en apparaître verrouillé à jamais, interdisant tout changement.
Mais l'essence de la démocratie, c'est la liberté de choisir !
Dans la mesure où le choix appartient à votre liberté de conscience, je crois profondément que rien n'est joué d'avance.
Le 21 septembre, vous disposerez librement de 3 voix, à répartir comme bon vous semble, car le scrutin n’est pas un scrutin de liste.
J’espère que vous m’apporterez l’un de vos suffrages, pour défendre nos communes face à la voracité de l’Etat prédateur, défendue par l’actuelle majorité et ses représentants au Sénat.
Après ce premier contact, je développerai bientôt mes propositions, dans l'espoir de pouvoir vous rencontrer bientôt personnellement. "
Rédigé à 18:28 | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
Paul Morand écrit quelque part, je cite de mémoire : " La Pologne, comme la philosophie, est ennuyeuse, marécageuse et trop souvent envahie par les Russes et les Allemands. "
Comme il se trompait, le grand voyageur... Rien de monotone dans les paysages polonais et jusqu'alors, aucun marécage, ni russe, ni allemand
Je vous envoie quelques photos de la Pologne profonde, riante et variée.
Rédigé à 15:58 | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
La justice de mon pays réparera-t-elle une grosse injustice ? Ouvrira-t-elle la voie à la réconciliation politique de la gauche
locale ? Je n'en sais rien et personne ne peut le prévoir.
Je sais seulement que les vingt-trois voix d'écart qui ont permis de faire élire Guy Auzoux par une frange de l'électorat de gauche ont été obtenues par des méthodes ignobles, la manipulation et le mensonge, méthodes qui discréditent la politique et les valeurs que je défends.
Au delà de ces méthodes, comment admettre que, sans raison avouable, juste pour assouvir une haine personnelle, le PS poignarde son propre camp en se maintenant au second tour pour faire délibérement élire un UMP ? Curieuse façon de s'opposer à Sarkozy que de faire élire l'un de ses amis au conseil général à la place d'un vice président de gauche...
Il est vrai que depuis 2001, la gauche est devenue virtuose des stratégies perdantes.
Ainsi, à Louviers, où l'a menée ce plan d'enfer, basé sur les brûlures d'ego d'un vieil
adolescent combinard, lui même instrumentalisé pour devenir le jouet amer d'une
vengeance personnelle ?
Résultat : le conseil
général compte un élu UMP de plus et à Louviers, le PS a tout perdu.
C'est aussi triste et niais qu'un congrès de Rennes. Ces plans finauds, ces plans à la Gribouille ne mènent qu'à une impasse, dont il faudra bien sortir.
Car si le PS local refuse de discuter, comme je le lui propose, par le canal de son secrétaire fédéral, depuis le mois de juin, les mêmes causes produiront les mêmes effets et il se retrouvera à nouveau hors-jeu.
Car Louviers, 3ème ville du département, a besoin d'être représentée au conseil général. Si la justice ne permet pas de reconquérir, à la loyale, le siège de Louviers Sud, il reste celui de Louviers Nord. Dès la décision du tribunal, le compte à rebours sera lancé. Et de fil en aiguille, on arrivera bientôt aux municipales... où le PS ne peut rêver de gagner seul et où la division, cette fois, ne profitera qu'à l'UMP.
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Ce matin, je m'envole pour Cracovie. Je vais enfin voir le célèbre plombier polonais (en polonais : "polski hydraulik") qui terrorise Laurent Fabius...
Après le fameux appel " Go West, young man ! " auquel a obéi ma jeunesse, soumettrai-je l'imaginaire de mes cinquante ans au non moins fameux " Drang nach Osten " ?
J'ai toujours voulu mieux connaître l'Est en général, la Pologne en particulier. La Pologne est le coeur de l'Europe, à la fois géographiquement et symboliquement, un coeur si souvent déchiré.
La Pologne est au coeur de l'Europe, trop souvent pour le pire...
A l'heure où les nuages noirs de l'Histoire s'amoncellent sur l'Europe de l'Est, j'ai hâte d'aller à la rencontre des gens, de parler, de découvrir le peuple polonais, de comprendre leur point de vue, leur vision de l'Europe, de la France...
Sous la houlette de Wladislas Rzepkowski, ancien maire de La Vacherie, issu de l'émigration polonaise vers la France du Nord, cette semaine de découverte, en compagnie d'autres élus du canton,ne pouvait mieux tomber.
Tout enfant, j'ai ressenti douloureusement ma première vision du drame polonais : je me souviens avoir été ému par l'apparition ridicule et pathétique de polonais émigrés... dans les romans de la comtesse de Ségur, née Rostopchine.
Une nation brassée comme nulle autre par les influences romaine, ottomane, scandinave, germanique, slave, russe, américaine... Une nation dont la souveraineté a été niée comme nulle autre en Europe, une nation cesse dépecée par les appétits et les manoeuvres des grandes puissances continentales.
Une nation qui a donné au monde Copernic, Chopin et... Jean Paul II. Mais aussi Lech Walesa et Solidarnosc, symbole du dégel du bloc soviétique avant même la chute du Mur de Berlin.
Une nation rayée de la carte des Etats entre 1717 et 1918, une nation démembrée de 1138 à 1350, une nation toujours abandonnée... alors que son peuple a été le moteur des révolutions patriotiques de 1830, 1848 et que les patriotes polonais ont toujours été manipulés par les grandes puissances, à commencer par l'Empire napoléonien.
Une nation où, plus qu'ailleurs, le 20ème siècle saigne...
L'explosion du conflit mondial en 1939 nait de la volonté commune de Staline et d'Hitler de se partager la Pologne d'un commun accord : le pacte germano-soviétique. Les enjeux de pouvoir dépassent certes la Pologne, mais c'est sur le sol polonais que la barbarie s'exprime sans retenue... Avant 1941, les Polonais servent de cobayes avant la mise en oeuvre de la solution finale, alors que les Soviétiques leur font subir les méthodes bien rêdées dans l'archipel du Goulag...
Auschwitz, Katyn, le soulèvement du ghetto de Varsovie, l'extermination des élites, l'extermination ethnique et, après la victoire des alliées, les déportations massives de populations en application des accords de Yalta...
On ne peut chiffrer l'horreur, mais en nombre de morts et en destructions matérielles, la Pologne est le pays qui a, de loin, le plus souffert du conflit mondial : 18% de la population de la Pologne disparait dans la tourmente... A comparer avec les 7,4% de l'Allemagne, les Alliés connaissant des pertes très inférieures.
Et aujourd'hui ?
A l'heure où la guerre frappe à la porte de l'Europe, en Géorgie, les Polonais, les Baltes ne veulent pas revivre l'interminable nuit, le cauchemar que leur imposa si longuement l'impérialisme russe.
La décision russe d'envahir la Géorgie est liée, entre autres raisons majeures, à l'accord donné par la Pologne au déploiement d'un réseau anti-missile américain sur le sol polonais.
Alors, qui protègera les Polonais ? Choisiront-ils comme suzerains les USA, l'OTAN ? Une Union Européenne qui, via le non français, l'image du plombier polonais, a su les humilier à nouveau ?
La réunion de mardi des ministres des Affaires étrangères de l'OTAN permettra d'y voir plus clair.
Une fois de plus, la Pologne est au coeur de la tourmente.
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Seul au volant, en route vers Rouen, à l'écoute de France-Info, suspendu en direct aux 200 mètres dos des séries du 200 mètres dos, je me surprends à hurler : " Vas-y Laure, allez, allez, t'es la meilleure, montre leur ! "
Combien j'aimerais voir Laure Manaudou repartir de Pékin en paix avec elle-même ! La France dévore ses champions, la France brûle si vite les sportifs adulés hier.
Président d'Eure-Expansion, j'ai l'honneur d'avoir travaillé sur un plan de communication avec Stéphane Diagana, un homme bien, toujours athlète mais ex-champion, bien dans sa tête, bien dans sa peau, devenu expert et consultant sur la performance, en entreprise comme dans le sport.
Pour un Stéphane Diagana, capable de gérer aussi bien la victoire que l'échec, combien d'étoiles filantes sombrant sans gloire après un passage au firmament où elle se brûlent les ailes ?
Souvenons nous de Marie Jo Perec...
A l'heure où j'écris ces lignes, je ne sais pas ce qui se passera à Pékin. Mais, quoiqu'il arrive, que le résultat soit bon ou pas. respect pour la championne, respect pour la jeune femme, respect pour le travail inhumain qu'elle accomplit depuis le plus jeune âge.
A l'entraînement, la natation est un des sports des plus ingrats, monotone et exigeant. Aller-retour, combien de longueurs de bassin pour nous offrir, en compétition, la fluide beauté d'un corps libéré de la pesanteur, volant vers une scintillante breloque d'or ?
Alain Bernard nous a offert ce merveilleux spectacle à Pékin. Mais quoiqu'il arrive, Laure Manaudou laissera dans ma mémoire un immarcessible sillage. Allez, Laure, on t'aime !
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L'avenir du Marité suscite l'intérêt de la presse. La plupart des magazines nautiques ont publié cet été des articles sur le sujet. Et ce n'est qu'un début...
A Cherbourg, mardi, nos amis de France Bleue ont tenu leurs auditeurs en haleine par l'évocation des "cinq vies" du trois-mâts, de onze heures trente à midi trente.
Le bruit rassurant des marteaux de calfat terminant l'étanchéité de la coque, superbement restaurée, n'a pas été entendu à l'antenne, mais il attestait que les travaux, contre vents et marées, se poursuivent.
Cette plage radiophonique a fourni l'occasion de faire le point en croisant cinq entretiens avec : le président du conseil général de La Manche, Jean François Le Grand et messieurs Augé,patron du chantier naval qui restaure le Marité, Bourlet, président de l'association Voiles Ecarlates, association de réinsertion, notamment de mineurs délinquants, Lefevre, président du Comité des Pêches représentant les marins-pêcheurs.
On le sait : la Ville de Rouen a mis le projet en difficulté en affirmant son souhait de se retirer du GIP, groupement propriétaire du navire.
Se retirer, soit. Mais à quelles conditions, tant financières que morales ?
Tant que ce cap ne sera pas doublé, difficile de parler de l'avenir du bateau avec certitude. Mais dès le premier septembre, on y verra plus clair. Pour ma part, je souhaite donner un nouvel élan au projet... avec des propositions inédites.
L'état d'esprit, réceptif positif et responsable du président Le Grand donne bon espoir. Mais il faudra trouver des partenaires.
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