Départ du marathon Seine Eure dimanche 12 octobre, à Amfreville-sur-Iton
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Dimanche, tous les records sont tombés sur le parcours du Marathon Seine-Eure. Et d'abord le plus précieux celui de la participation populaire. Notre fête des gambilles confirme sa popularité. Après 4 éditions réussies, coureurs novices et confirmés sont au rendez vous de l'automne.
Une météo idéale et le nouveau parcours ont favorisé l'exploit sportif et les chronos ont explosé dans chaque catégorie, y compris celle qui motive l'immense majorité des participants : le record personnel.
A l'image de Nicolas Lizard, manager d'Eure Expansion,( à gauche, en vert sur la photo du départ ) qui passe sous la barre des 3 heures. Chapeau ! Sans la participation de bénévoles, presque aussi nombreux que les coureurs, l'épreuve n'aurait pas lieu. Ils ont été fidèles au poste, encadrés par une parfaite organisation. Résultats complets sur le site : http://www.marathon-seine-eure.com/
J'ai eu le plaisir de voir des amis se lancer pour la première fois, à l'image de Pierre Aubinais, maire de Poses. A Surtauville, on a pris goût au challenge et l'équipe communale est toujours là, dans la bonne humeur. Mobilisé au service de la course, le personnel de la CASE a pu applaudir le retour sur route de Philippe Le Gal, le nouveau directeur des services.
Pour la première fois, fier comme Artaban, je portais un maillot de légende. Toute l'équipe municipale a choisi de courir sous le maillot violet de l'Etoile Athlétique Lovérienne, club qui se dépense sans compter pour le succès de l'épreuve. N'hésitez pas à vous inscrire, l'EAL vous attend !
J'adresse un clin d'oeil à mes coéquipiers, Céline Jégu, Foued Fareh,
Pierre Semelagne, Stéphane Grolaud, Hervé Neveu, qui se classent 109èmes,
dans la bonne humeur. Une mention spéciale à notre gourou de la course à pied, Olivier Taconet, qui boucle le marathon après avoir disputé les 100 kilomètres de Millau.
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Souvenez vous de... 1984. Une vidéo-souvenir pour se rappeler Yves Montand, l'émission Vive la Crise !, la gauche de l'époque, la crise quoi...
Et la conclusion d'Yvon Collin, président du groupe PRG au Sénat, lors du débat au Parlement organisé cette semaine à propos de la crise financière
" Je suis, comme la plupart d'entre vous, un militant engagé,
c'est-à-dire un optimiste pour qui le pire n'est jamais certain. Vous avez
tous en mémoire la formule consacrée « Vive la crise ». Grâce à elle, ce que
nous hésitions à faire pour l'environnement, pour le droit social, pour
l'homme plus généralement, la crise va nous forcer à l'entreprendre. Alors,
au-delà des querelles stériles ou des clivages partisans, en avant !
Car la résignation creuserait la dépression. Seule l'action
politique résolue permettra de la surmonter. »
Rédigé à 08:57 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
L'Assemblée Nationale a voté en première lecture la mise en place du RSA, mesure approuvée par le parti radical de gauche, le PS s'abstenant, le PC votant contre.
Dispositif complexe, innovant et salutaire, le RSA a été expérimenté
dans le département de l'Eure, où j'ai participé à sa délicate mise au
point par le conseil général. Les premiers bénéficiaires du RSA ont été
ceux de l'UTAS de Louviers. Je me sens donc personnellement fort
impliqué dans ce dossier. Je défends le RSA comme une avancée sociale
majeure. Il faut le dire et le répéter.
Certes, son financement n'est pas aussi
équitable que nous le souhaitons. Certes, si la gauche avait gagné
la présidentielle, le dossier aurait été largement amélioré sur bien
des points. Est-ce une raison pour dire non à une excellente mesure,
où de s'aligner sur le PS par une étrange abstention ?
A gauche, si nous voulons être crédible, nous devons être cohérents.
Les radicaux n'ont pas choisi " l'opposition frontale" chère à la gauche archaïque. Nous
condamnons le bouclier fiscal, c'est clair. Mais ce bouclier concerne la
partie recettes du budget et non la partie dépenses. Je refuse la
paresse intellectuelle, frisant l''irresponsabilité qui ferait de cette
condamnation du bouclier fiscal l'alpha et l'omega de notre position
sur toute dépense nouvelle ou toute réforme proposées par l'actuel
gouvernement.
Allons voter non ou nous abstenir sur toute mesure
proposée par ce gouvernement tant qu'il n'aura pas abrogé le bouclier
fiscal ? Autant remplacer nos députés par des robots à voter non. Cela
existe dans l'hémicycle, suivez mon regard...
Rédigé à 13:49 | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
Malgré le soutien que lui apporte la municipalité, l''USL va mal.
Cela ne date pas d'hier. Cela ne date pas non plus de l'arrivée de l'équipe dirigeante actuelle. Elle fait ce qu'elle peut pour relancer, une fois de plus, le club.
Mais le "pétage de plomb" du capitaine de l'équipe première, cassant le nez de l'arbitre, a mis par terre un an d'effort pour améliorer l'image du club. Les vieux démons ont encore frappé.
La muncipalité a toujours soutenu l'USL, contre vents et marées. Le club de foot détient la première place au classement... des subventions reçues. Il dispose d'un emploi à temps complet financé par la ville, les installations de la Plaquette ont été rénovées pas à pas, etc.
Je ne jette pas la pierre aux équipes dirigeantes, qui se succèdent à un rythme trop rapide et qui toutes, essaient sincérement et courageusement d'améliorer la situation du club.
Mais je constate que, sur le long terme, le décollage maintes fois promis ne se produit pas.
Il faut changer de perspective. Totalement.
Et je crois que la solution réside dans le fait que le club de Val de Reuil et celui de Louviers sont complémentaires, avec leurs forces et leurs faiblesses respectives. Réunir les moyens dont ils disposent ne serait pas une addition, mais une multiplication.
J'ai parlé de fusion aux dirigeants de deux clubs et au maire de Val de Reuil. A ce jour, aucun n'a exprimé d'hostilité à l'idée de faire un grand club de foot intercommunal. La balle est dans leur camp.
Rédigé à 09:14 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Les visites de quartier sont un élément fondamental de notre politique de démocratie participative. La méthode est connue : la population reçoit dans sa boîte à lettres l'itinéraire de la tournée.
Plusieurs points de rendez vous sont indiqués, avec l'horaire prévu. Il suffit de s'y rendre pour rencontrer maire, élus et services de la ville. Les demandes sont notées et les demandeurs reçoivent un courrier avec la réponse de la Ville.
Pour la proximité avec les habitants d'un quartier, qui dit mieux ?
Certes, on ne débat pas de grands problèmes d'orientation politique,
mais plutôt de trottoirs, d'entretien végétal, de panneaux de
circulation.
De plus, les élus sont accompagnés par des représentants des bailleurs sociaux. Eure-Habitat et la directrice de l'agence locale, Mme Gavelle, jouent le jeu avec beaucoup de dévouement et de disponibilité car bien des questions concernent le logement social.
Ainsi, dans le quartier Maupassant - Les Amoureux visité hier, nous avons pu voir la rénovation de 40 logements PSR, avoir confirmation d'une étude portant sur la proche réhabilitation de 100 PSR.
La démolition/reconstruction de la Cité Commandeur a été confirmée pour le début de 2009.
Louviers bouge, il se passe toujours quelque chose.
Rédigé à 12:45 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Toujours attentif à ce qui passe au Niger, le conseil municipal de Louviers, lundi dernier, a adopté une motion demandant la libération de Moussa Kaka journaliste de Radio France International, emprisonné pour avoir fait son métier : des reportages sur les rebelles du MNJ.
Une motion un peu "téléphonée" car tous les amis du Niger savaient que cette libération était dans l'air du temps, voire imminente. Mais ne boudons pas notre plaisir.
Moussa Kaka a été libéré aujourd'hui.
Rédigé à 16:55 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Allons bon ! Les cochons de la LCR sont de retour !
Armés de brosses et pinceaux, salissent nos rues d'affiches apposées hors des panneaux réservés à cet effet. Et ils n'hésitent pas à arracher des affiches qu'ils laissent en tas sur le trottoir.
Faut-il leur dire que le sigle de leur nouveau groupuscule, le NPA doit se lire : Ne Pas Afficher en dehors des espaces réservés à cet effet ?
Salir les rues, mépriser le travail des employés municipaux, il y à pas de quoi être fier. Mais les seigneurs de l'autre monde n'ont cure.
Cet état d'esprit est bien révélateur = autoproclamés prophètes d'un "autre monde", ils s'arrogent le privilège de s'affranchir des lois et règles de vie du monde où nous vivons tous.
Tant qu'il s'agit d'affiches, c'est irritant mais il y a plus inquiétant : le soutien de Besancenot à l'assassin non repenti d'Action Directe, Jean Marc Rouillan.
Ce dernier n'a pas respecté les règles de sa liberté conditionnelle et a été remis en prison.
Besancenot s'insurge, car Jean Marc Rouillan participe à la fondation du Nouveau Parti Anticapitaliste, ramassis de tous les nostalgiques d'un passé totalement dépassé.
Quel symbole !
A l'extrême gauche, Besancenot est le symétrique de Le Pen à l'extrême droite. Création médiatique, sa séduction populiste masque le vide sidéral de l'absence de pensée de son groupuscule. Je vous mets au défi, cher lecteur, de citer une idée neuve dans le fatras idéologique confus qui sert de bréviaire aux curés rouges du NPA.
L'audience personnelle de Besancenot, chouchou des médias, peut faire perdre la gauche lors de l'élection présidentielle. C'est le seul but clair du NPA, dont les vieux chefs trotskistes n'ont aucune envie de changer le monde, mais seulement d'attirer les frustrés de la gauche pour faire prospérer leur chapelle.
Rédigé à 09:23 | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
<< Ce qu’il faut craindre, ce n’est pas tant la vue de l’immoralité des grands que celle de l’immoralité menant à la grandeur. Dans la démocratie, les simples citoyens voient un homme qui sort de leurs rangs et qui parvient en peu d’années à la richesse et à la puissance ; ce spectacle excite leur surprise et leur envie : ils recherchent comment celui qui était hier leur égal est aujourd’hui revêtu du droit de les diriger. Il s’opère ainsi je ne sais quel odieux mélange entre les idées de bassesse et de pouvoir, d’indignité et de succès, d’utilité et de déshonneur. >>
Alexis de Tocqueville De la démocratie en Amérique
Rédigé à 09:51 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)