« novembre 2008 | Accueil | janvier 2009 »
Entre le refus du malheur et le refus de la fatalité, la frontière est mince, mais elle fonde la civilisation. Jamais une garde à vue n'abolira le malheur. Le faire croire est dangereux.
Absurde et cruelle, la mort d’un enfant est une souffrance indicible. Lorsqu’elle est causée par autrui, son absurdité peut devenir inacceptable pour la famille, tentée dès lors de trouver un bouc émissaire, pour substituer à une intolérable douleur l’anesthésie illusoire de la colère. On a vite fait alors de confondre vengeance et justice. La civilisation disparait au profit du talion.
C’est à la société qu’il appartient de tracer la limite, par le droit et, faut-il le dire, par la morale. L’éducation collective doit forger des citoyens capables d’admettre que le malheur existe, peut vous frapper et que l’absurde et l’accidentel, font partie, tragiquement, de la vie des hommes. Seule la force morale individuelle permet de faire face à l’absurde sans accuser autrui du malheur qu’il apporte.
En revanche, nous devons refuser collectivement toute fatalité, au nom d’un progrès toujours possible. Inlassablement, la société doit améliorer son fonctionnement pour chasser toujours plus loin la souffrance évitable. La mission de l’hôpital est de repousser la souffrance que cause la maladie et nous devons donner à l’hôpital les moyens, humains et matériel de progresser dans cette mission.
Or, la dépénalisation de l’erreur individuelle à l’hôpital est indispensable à la bonne vie de l’hôpital. Le personnel hospitalier a choisi un métier où les responsabilités sont immenses. Comment admettre que des femmes, des hommes dévoués et compétents et vivent sous l’épée de Damoclès d’une sanction pénale en cas d’erreur ?
La dépénalisation de l’erreur médicale et sa contrepartie ( la reconnaissance des droits du malade ) apportées par la loi Kouchner sont un grand progrès. Ne revenons pas là dessus pour un faits divers tragique, mais absurde.
Rédigé à 10:12 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Les énergies - positives et négatives - se polarisent autour du Marité.
Dans la Manche, Granville et Saint Vaast la Hougue souhaitent participer à la sauvegarde du bateau. Auprès des collectivités, je continue à tisser ma toile et je peux affirmer que l'année 2009 ne se terminera pas sans de nouvelles adhésions.
Selon le journal La Manche Libre, l'acteur normand Jacques Lamblin pourrait parrainer le bateau.
Rappelons que Fécamp, un peu tiré par la manche pour abandonner le projet, a finalement décidé de rester dans le Groupement d'Intérêt Public propriétaire du bateau.
Cet afflux de bonnes volontés prêtes à s'engager est la seule réponse aux sinistres attaques dont je suis l'objet. Tout ceux qui agissent sont critiqués, c'est la règle du jeu.
Mais la sauvegarde du patrimoine est l'affaire de tous. Le Marité n'est pas un "projet personnel" du président de la CASE.
Certes, je m'engage et je fais tout mon possible pour sauvegarder et faire vivre le patrimoine, non seulement avec le Marité, mais avec les yoles de Bantry. Mais je ne suis pas seul !
L'engouement populaire, les millions de visiteurs, les centaines d'entreprises et de collectivités qui participent aux rendez vous de grands voiliers à Rouen, Brest, Douarnenez et dans le monde entier
Cette passion populaire pour l'héritage maritime ne peut exister sans effort de sauvegarde du patrimoine encore à flot. Si d'autres pays n'avaient pas fait cet effort, il n'y aurait pas d'Armada à Rouen. Combien de grands voiliers français à Rouen lors de la dernière Armada ?
La France, qui se veut puissance maritime, est le seul grand pays à avoir abandonné son patrimoine maritime et fluvial. Il y a urgence... et le Marité est unique au monde.
S'il disparaissait... on accuserait les hommes politiques d'irresponsabilité.
Rédigé à 10:01 | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
L'année politique 2009 sera scandée par plusieurs temps forts. A commencer par l'échéance des élections européennes.
Voici le premier sondage sur les intentions de vote.Il montre que les deux partis dominants UMP et PS sont en position de faiblesse, à égalité parfaite : 22 %.
Les élections européennes sont toujours difficile pour le parti au pouvoir, car les Français ont l'impression qu'on peut s'y défouler et protester sans risque : 22% pour le parti du président, ce n'est pas glorieux.
J'avais prévu un feu de paille, une embellie pour le PS qui a renoncé à gagner la présidentielle mais espère des résultats aux élections mineures. ( lire ici).
La remontée se limite à un maigre 22%, pas mieux que l'UMP, loin du résultat précédent.
Aucun européen convaincu ne peut faire confiance à une direction qui ressuscite les anciens fantômes du PS : la spectaculaire et désastreuse proposition de Benoît Hamon de ressusciter l'autorisation administrative des licenciements laisse présager de riches heures pour les spadassins "nonistes" qui ont brisé l'Europe. Ils n'ont rien appris, rien compris, même s'ils tenteront, la main sur le coeur, de nous faire croire que le débat sur le traité de Lisbonne ou le TCE est "derrière nous". Rien n'est réglé, rien à espèrer de ce côté-là pour qui aime l'Europe.
A part la dégringolade de l'extrême droite et des nonistes de droite, tous les "petits" partis progressent spectaculairement. Isolé politiquement, Bayrou n'est pas seul : 12% d'électeurs, c'est très fort pour une base de départ. La splendide manoeuvre de Cohn Bendit, capable de rassembler toutes les tendances vertes, porte ses fruits.
Tout l'intérêt du match se concentre sur le parcours des trois B : Bayrou, Bové, Baylet... Une autre épine dans le pied de Martine Aubry : comme prévu, la division des socialistes et la colère sociale alimentent - sans percée spectaculaire - l'extrême gauche. La direction du PS, bien qu'otage des "nonistes", reste incapable de juguler la fuite des voix d'extrême gauche.
Rédigé à 11:18 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Il semble bien que la CUR ait du plomb dans l'aile. En tout cas, elle ne se fera pas, comme je l'avais prévu, en 2010. Se fera-t-elle un jour ? Le but est louable, les méthodes, ou plutôt l'absence de méthode condamnent le projet pour de longs mois.
Souvenez vous ! Dès l'élection de Laurent Fabius à la présidence de l'agglomération de Rouen, trompettes et buccins sonnaient les louanges du grand homme, qui annonçait d'entrée de jeu que la communauté urbaine de Rouen naîtrait dès janvier 2008.
Las... Dès cet été-là, connaisssant un peu les règles et nécessités légales pour fonder une structure intercommunale, j'exprimais mon scepticisme...
Qu'à cela ne tienne, ce serait pour 2009, puis 2010
Or, le 16 décembre dernier, le conseil communautaire de la Communauté de communes de Caux Austreberthe, s’est prononcée contre l’adhésion à la future Communauté Urbaine de Rouen.
Ce qui rend impossible la création envisagée en 2010 par Laurent Fabius. En effet, sans cette intercommunalité, le nombre d’habitants ne pourra atteindre les 500 000 nécessaires à la constitution d’une telle entité.
Il ne faut pas s'en réjouir, car la Normandie a besoin d'un Grand Rouen. Mais constate que construire une structure intercommunale demande beaucoup plus de respect et de concertation pour ses partenaires potentiels.
En ce qui concerne la CASE, j'ai toujours eu la même position : discutons d'un projet commun avant de discuter de l'institutionnel. Laurent Fabius a mis la charrue avant les boeufs. Et je suis fort surpris d'entendre ses sbires parler partout du "refus du maire de Louviers".
Le président de la CASE n'a - tout simplement - jamais été contacté pour évoquer la future CUR. Pas une lettre pas un coup de fil, pas un rendez-vous, pas une rencontre. Je n'ai donc pas eu à refuser des propositions qui ne m'ont jamais été faites...
Quand à la perspective de suivre Fabius, ce n'est pas le maire de Louviers, mais l'immense majorité des communes de la CASE qui s'y refuse.
Voir aussi l'article du Café Radical
Rédigé à 09:35 | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
Je vous livre telle quelle une dépêche AFP qui va faire du bruit dans le Landerneau de la gauche. La déclaration du président du PRG est logique : l'absence de perspective européenne bouche l'horizon du PS depuis que sa nouvelle direction est dominée par les anti-Europe. Il est naturel que les vrais européens envisagent de se regrouper... mais les dés commencent seulement à rouler.
PARIS, 21 décembre 2008 (AFP) - Le président du Parti des radicaux de
gauche (PRG), Jean-Michel Baylet, a indiqué dimanche qu'il envisageait de
constituer des listes avec le MoDem de François Bayrou, dont il se sent
plus proche que du PS, "divisé" sur l'Europe.
"J'ai demandé à rencontrer François Bayrou parce que j'envisage la
possibilité de faire des listes avec lui", a indiqué M. Baylet au Journal
du dimanche.
"Son courant et le mien ont toujours été a l'avant-garde de la
construction Européenne. Nous avons une vision semblable de l'Europe :
fédérale, sociale et puissante. Il y a plus de choses qui nous rapprochent
de François Bayrou que du PS, divisé sur le sujet", a ajouté le sénateur
du Tarn-et-Garonne.
"Ce n'est pas une rupture (ndr: avec le PS) mais une manière de se
démarquer", selon M. Baylet.
"La dernière fois, le PS nous avait baladés et nous n'avions eu aucun élu
au Parlement Européen, pas question que cela recommence", selon lui.
"Comme la gauche tient la quasi-totalité des régions il y a des chances
pour que nous repartions avec le PS aux régionales. Quand à la
présidentielle, il faudra rassembler tout le monde. Bayrou est un opposant
confirmé à la politique de Sarkozy et tous les opposants devront se
rassembler au second tour", conclut-il.
__._,_.___
Rédigé à 10:28 | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
Le dessinateur d'origine tchèque Alfons Mucha lance un nouveau courant artistique, l'Art nouveau, suite à une commande d'affiches inopinée de l'actrice Sarah Bernhardt pour son nouveau spectacle parisien : Gismonda... Lire la suite
Le 25 décembre 800, à Rome, Charlemagne est couronné «Empereur des Romains» par le pape Léon III en présence d'une nombreuse délégation de Francs... Lire la suite
Le 29 décembre 1170, l'archevêque Thomas Becket (52 ans) est assassiné dans sa cathédrale de Cantorbéry pendant qu'il célèbre la messe... Lire la suite
Il y a 50 ans, le 1er janvier 1959, Fidel Castro (31 ans) entrait à La Havane que venait de quitter précipitamment le dictateur Batista. À ses côtés, Ernesto «Che» Guevara... Lire la suite
Rédigé à 22:48 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Un petit vous taisez, dames ! C'est grand merveille
D'ouïr ces oiselets, le zizi, le lulu,
La jangle du bouvreuil, le caquet résolu
Du gaillard pinsonnet qui me perce l'oreille.
La grive et le moqueux entonnent un canon,
Tandis que va mêlant ses deux notes dolentes
Aux roucoulements lointains des tourtres roucoulantes
Le coucou qui ne sait que redire son nom.
Mais déjà je n'ois plus, si ce n'est par bouffées,
Le jacque jargonner ni hennir le poulain,
Tant aigre est le babil de ces chèvres coiffées,
Bavardes comme horloge et claquet de moulin...
poème d'André Mary
Je marchais dans Louviers ce matin. Au bas de la rue Saint Germain, où je loue un hangar, le soleil prenait en enfilade trois façades, accrochant un pâle rayon d'hiver sur la villa Calderon, la maison de la petite enfance, le dos massif du théâtre, le Grand Forum.
Avant l'arrivée de mon équipe municipale, rien de cela n'existait.
Louviers se transforme, nous pesons sur son avenir du poids concret de nos réalisations, que j'ai l'immodestie de voir belles, bonnes et utiles à tous.
Là est ma force et mon bonheur : avoir été utile, aider collectivement mon prochain, aimer ma ville et la cultiver comme un beau jardin.
Mais le prix à payer est lourd, je vous le dis.
On ne sort pas indemne des bains de boue, de fumier et de venin de la vieillerie politicienne.
Zola dirait pourtant que ce fumier est nécessaire pour féconder le terreau des plus belles récoltes de l'humanité. Il faut le croire, mais... à la fin, on est las de ce monde ancien.
Croyez vous que j'aime la mesquinerie, la violence et la bêtise épaisse de tant de mêlées politiques ? J'y participe, c'est vrai, j'ai parfois la main lourde à la riposte, j'en conviens.
Qu'on me dise le moyen de faire autrement ?
C'est vrai que je suis très méchant : quand on m'attaque, je me défends... Et si l'on touche à mon équipe ou à mon honneur, je suis sans pitié.
Mais on ne peut prendre de la hauteur, de la sérénité tout seul... calmer un jeu qui n'a d'arbitre que tous les 6 ans... Nul n'est zen face aux coups bas.
Sauf à cultiver ce qui m'est totalement étranger : l'hypocrisie, la servilité, le mensonge.
Croyez vous qu'il me plait, chaque mois, en entrant dans la salle du conseil municipal, d'être certain d'affronter les volées de flèches empoisonnées partant de trois côtés sur quatre ?
Le but des opposants n'est pas de construire, ni même de débattre, mais de mettre la municipalité en difficulté, en trucidant allégrement vérité et bonne foi dans les arguments !
Pour se plaire dans pareil cirque, il faudrait avoir vocation de charmeur de serpents... à sornettes. Désolé, je n'aime ni les serpents, ni les sornettes.
Alors oui, je suis un homme passionné et je défends avec passion le travail de mon équipe et les progrès accomplis par Louviers. Tant pis si la presse s'apitoie, en priorité, sur le sort des serpents à sornettes...
Rédigé à 19:41 | Lien permanent | Commentaires (3) | TrackBack (0)
J'ai dit que je n'avais aucun goût à me muer, à chaque conseil municipal en charmeur de serpents à sornettes. Voici quelques exemples...
Entendre Mme Ozanne, affirmant
gravement que la société pouvait se passer du progrès technique... Affirmation ahurissante, visant à démolir
l'installation du cinéma numérique et du cinéma en trois dimensions à
Louviers... Il fallait se pincer pour entendre dénigrer le progrès,
sous le portrait de Mendes France ! La LCR défendant le mode de vie de la communauté Amish !
J'aurais
du, pour seule réponse, enregistrer et diffuser - en numérique ! - les
rires émerveillés des enfants, lors des projections gratuites offertes
par la Ville.
Opposition digne ou noeud de serpents à sornettes ?
Alors que l'économie mondiale s'effondre, Monsieur Aubert déclare sans rire qu'il ne voit aucune raison pour que cette crise amène un centime de dépense supplémentaire à Louviers. Aveuglement ou totale mauvaise foi ? Opposant sérieux ou serpent à sornettes ?
Le discours de Michel Doucet est monté en boucle. Si nous dépensons, nous gaspillons. Si nous économisons, nous trahissons nos promesses. Et l'on torture les chiffres pour leur faire rendre gorge... contre toute vraisemblance. Opposant crédible ou serpent à sornettes ?
Et que dire d'une opposition qui se prétend de gauche et critique chaque investissement dans le domaine culturel et social ?
Le propre du serpent à sornettes, c'est l'insinuation permanente... A chaque fois que la Ville achète ou vend, on insinue que le vendeur ou l'acheteur ne paie pas le juste prix... par favoritisme, bien entendu.
Il
n'y a pas de séance du conseil où ce genre d'insinuation n'oblige à
défendre sa probité et son honneur.
C'est usant, lassant, mais probablement inefficace : trop d'opposition tue l'opposition, tant elle rend évidente qu'elle n'a pas de projet alternatif crédible et qu'elle dissimule cette absence par la seule volonté de nuire.
Rédigé à 18:48 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
N'ayant aucun goût pour l'amertume du venin, j'ai cessé depuis longtemps de lire ce qu'écrit un retraité de la plume qui me poursuit de sa haine quotidienne sur Internet.
Qu'il se caricature lui même devant un public dérisoire m'indiffère profondément : qui le lit ?
Mais il franchit aujourd'hui une limite en diffusant des fausses nouvelles. Et l'on sait qu'une rumeur peut se répandre bien au delà de la vingtaine de lecteurs du blog de M. Houel
Il m'oblige donc à démentir formellement son dernier mensonge : il n'a jamais été question de supprimer les transports par autobus des écoliers de Louviers vers la piscine !
Certes, à l'heure où de nombreuses villes de France, comme Paris et Evreux, expérimentent, au nom du développement durable, le système du pédibus pour les enfants, cette mesure a été proposée à deux écoles proches de la piscine Plein Soleil : Jules Ferry et l'école Notre Dame. Temps de trajet : moins de 10 minutes.
Il n'a jamais été question d'imposer cette mesure - expérimentale - aux 17 groupes scolaires que compte Louviers.
En démentant cette rumeur, je risque de l'étendre, mais il faut que cela soit dit : Jean-Charles Houel n'est pas crédible, les élections l'ont démontré. Sa passion pour la division, à vrai dire courante au PS, le congrès de Reims l'a montré, va jusqu'à la trahison : il préfère faire gagner l'UMP au second tour - Auzoux aux cantonales - plutôt que la gauche. Son
but politique est de diviser la gauche par une critique permanente pour
se redonner le statut d'éternel donneur de leçons public, statut dont sa
retraite du journalisme local l'a privé. Il est le vecteur de communication de la droite.
Mensonge donc, mensonge. En faisant de la pure vérité la victime collatérale de sa trahison politique, Jean Charles Houel donne à penser sur cette déontologie professionnelle dont il se fit si souvent une parure. Plutôt pesante.
Journaliste, Jean Charles Houel se croyait investi d'une sorte de
mission de directeur public des consciences, censeur et burgrave, insupportant le lecteur d'une
plume pesamment moralisatrice, confuse souvent, toujours
prud'hommesque. De sa vie, il n'a écrit une pensée originale.
Aujourd'hui, dans l' espoir de revivre une heure, une heure seulement,
nimbé dans le statut social largement fantasmé que lui procurait une
médiocre carrière de localier, il se singe en jouant le pigiste pour le PS, brandissant à nouveau carnet de notes et appareil photo dans
les manifestations publiques. Reconnaissons lui un courage aveugle pour braver les sourires qu'il fait naître partout où il joue les Rouletabille. Pathétique.
"La vieillesse est un naufrage", disait De Gaulle. Notre retraité n'est pas encore vieux.
Mais, après avoir fait élire un UMP pour mieux trahir la gauche, il donne en spectacle le naufrage des valeurs morales que sont la fidélité et le respect de la vérité.
Rédigé à 21:58 | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)